- cautelle
- Cautelle, Techna, Dolus, Astus, Astutia, Vafritia.Par cautelle, Ex insidiis.User de cautelle, Dolum adhibere.
Thresor de la langue françoyse. Jean Nicot.
Thresor de la langue françoyse. Jean Nicot.
cautèle — (kô tè l ) s. f. 1° Précaution mêlée de défiance et de ruse. 2° Terme de droit canon. Absolution à cautèle, absolution de précaution. HISTORIQUE XIIIe s. • Car trop scet li traïstres d agaiz et de cauteles Por les plus fors survaincre, J … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
La Trésorière — est une comédie humaniste publiée par Jacques Grévin en 1561, dans son Théâtre. Elle fut représentée le 5 février 1558 (1559 nouveau système), au Collège de Beauvais. Sommaire 1 Intrigue 2 Citations de critiques 3 … Wikipédia en Français
cautèle — [ kotɛl ] n. f. • v. 1265; lat. cautela « défiance » ♦ Littér. Prudence rusée. ⇒ défiance, rouerie. La cautèle paysanne. « la finesse particulière aux gens qui font leur fortune par la cautèle » (Balzac). ⊗ CONTR. Franchise, naïveté. ● cautèle… … Encyclopédie Universelle
magique — [ maʒik ] adj. • 1265; lat. magicus, gr. magikos, de mageia → magie 1 ♦ Qui tient de la magie; utilisé, produit par la magie. ⇒ cabalistique, ésotérique, merveilleux, occulte, surnaturel. Pouvoir magique. Formules, paroles, évocations magiques.… … Encyclopédie Universelle
retourner — [ r(ə)turne ] v. <conjug. : 1> • XIIe « détourner »; returner 842; de re et tourner I ♦ V. tr. A ♦ 1 ♦ (1336) Tourner de manière que l une des extrémités ou l une des faces vienne à la place qu occupait précédemment l extrémité ou la face… … Encyclopédie Universelle
abuter — ⇒ABUTER, verbe trans. A. TECHNOL. Toucher par le bout. 1. Emploi trans. a) MENUIS., CONSTR. NAVALE. Joindre et ajuster par le bout (2 pièces préparées pour cela) : • 1. [Les pièces] sont bien abutées quand elles cadrent bien ensemble pour former… … Encyclopédie Universelle
caillou — (ka llou, ll mouillées, et non ka you) s. m. 1° Pierre très dure, qui fait feu sous l acier. • Et quand d âpres cailloux la pénible rudesse De tes pieds délicats offensent la faiblesse, A. CHÉNIER Élég. 3. • Des veines d un caillou qu il… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
déception — (dé sè psion ; en poésie, de quatre syllabes) s. f. 1° Action de décevoir, tromperie. Il s indigna de tant de déceptions. 2° Erreur, fausse attente. Il a éprouvé de grandes déceptions. HISTORIQUE XIIIe s. • Par foi ci ne sai je respondre … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
obvier — (ob vi é. Au XVIe siècle, d après Bèze, on prononçait ovier), j obviais, nous obviions, vous obviiez ; que j obvie, que nous obviions, que vous obviiez, v. n. Prévenir un mal, un inconvénient. • Il y a douze jours que je suis enrhumée d une… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
usurier — usurier, ière (u zu rié, riè r ) s. m. et f. 1° Celui, celle, qui prête à usure. • C est ainsi qu à son fils un usurier habile Trace vers la richesse une route facile, BOILEAU Sat. VIII. • Cette honnête usurière, Qui nous prête, par heure,… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré